Les animaux sont de plus en plus présents dans les villes. Outre les chiens et les chats, d’autres espèces commencent à intéresser les familles, nota
Les animaux sont de plus en plus présents dans les villes. Outre les chiens et les chats, d’autres espèces commencent à intéresser les familles, notamment les pigeons, les grenouilles, les lapins et les blattes. D’après les dernières statistiques, on compte dans la capitale une dizaine d’espèces d’amphibiens et de reptiles, une trentaine d’espèces de mammifères et une centaine d’espèces d’oiseaux.
Les insectes, quant à eux, sont très difficiles à chiffrer. Puis, il y a aussi les chiens et chats errants, les rats et les autres rongeurs qui ne sont pas domestiqués et qui n’entrent donc pas dans les comptes.
Qu’est-ce qui encourage les citadins à adopter des animaux ?
Le nombre d’animaux de compagnie dans les villes ne cesse d’augmenter car de nombreuses personnes les considèrent comme une passion. Certains maîtres ne peuvent effectivement pas vivre sans leur compagnon et ils ne les prennent pas pour des animaux, mais vraiment des amis, des complices, des camarades de jeux, etc.
De plus, de nombreux arguments les encouragent à adopter des animaux. Tout d’abord, il y a les vétérinaires qui peuvent garantir la santé et le bien-être des animaux. Puis, il y a les différentes nourritures pour animaux de compagnie qui sont proposées dans les commerces pour bien les nourrir.
Il y a également les parcs et les jardins où les maîtres peuvent emmener leurs compagnons pour les amuser, les dresser, etc. Et enfin, il ne faut pas oublier les différents produits et accessoires pour animaux qui peuvent faciliter la cohabitation entre homme et animal.
Quel est l’inconvénient de la présence des animaux familiers en ville ?
En prenant par exemple le cas du chien, il est particulièrement apprécié par les citadins et il participe même à la vie quotidienne et à l’éducation des enfants. Il peut apprendre de nombreux concepts à ces derniers tels que la vie, la mort, l’amitié, la responsabilité, la joie et la distraction. Et dans l’espace public, il peut favoriser les relations sociales en obligeant son maître à sortir dans la rue et à rencontrer des gens.
Toutefois, il convient de noter que le chien constitue aussi un motif de conflits entre les citadins. Certaines personnes ne supportent pas les aboiements et d’autres craignent de se faire mordre. Il y a aussi celles qui sont allergiques aux poils.
Puis, il y a celles qui n’aiment pas tout simplement les animaux. Et c’est là que la présence du chien et aussi des autres animaux familiers pose problème. Donc, les détenteurs d’animaux de compagnie ainsi que le gouvernement doivent trouver des solutions pour éviter les ennuis.
Cimetière pour animaux
L’autre solution à mettre en place face au nombre croissant d’animaux est la question de la mort et ce que l’on fait de leur corps à ce moment là. Entre principe d’hygiène et acte mémorial, les collectivités comme les habitants trouvent dans les cimetières d’animaux une réponse à leur besoin. En effet, le cimetière permet de garder un souvenir, de partager la mémoire d’un compagnon qui a vécu avec vous durant des années. L’inhumation est de plus plus esthétique et plus facile à appréhender que le traitement vétérinaire des animaux morts.
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